Non, je ne suis pas dans la rue, sans domicile. Mais je suis dehors mon bureau avec deux tiers de mon personnel, et ça ne fait pas mon affaire. Pas du tout.
Qu'est-ce qui est arrivé? Voici l'histoire en format court…
Mon organisme communautaire occupe des locaux dans le sous-sol d'un immeuble historique de la Ville. Les autres étages logent plusieurs autres organismes sida et/ou LGBTQ.
En 2005, nous avons signalé à la Ville une bosse dans le mur de notre bureau. Deux ans plus tard, ils répondent en visitant les lieux et en enlevant le plâtre afin de mieux voir le problème. Ils prennent deux autres jours pour déterminer quoi faire. Ensuite, ils arrivent à l'immeuble pour annoncer que tout le monde a deux heures pour quitter les lieux.
Deux ans, deux jours, deux heures.
Si seulement la résolution aurait pris deux minutes…
2 comments:
Il faut te corriger: LGBTTTIQ
et m-o-u-s-e tout ensemble maintenant.
Je pense que ça fait un « t » de trop et un « q » de trop peu !
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